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L'ABUS D'ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ, À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.
LA CRÉATION ARTISTIQUE
Née d’une préoccupation face au dérèglement climatique, l’œuvre Movement créée par Tomás Saraceno et soutenue par la Maison Ruinart souligne de façon sensible l’urgence du défi climatique.
Aerocene de Tomás Saraceno, consiste à utiliser la puissance de l’énergie solaire pour faire s’élever et flotter dans le ciel une structure gonflable. Le vol de l’Aerocene change en fonction de la pression atmosphérique et du vent, en harmonie avec les éléments.
Ce projet incarne une expérience de vol sans énergie fossile et propose un point de vue artistique sur l’importance de l’air pour le développement de la vie sur terre. Un seul degré de température supplémentaire suffit à faire s’envoler une sculpture gonflable aérosolaire, de la même façon que le réchauffement d’un degré du climat perturbe chaque année notre environnement…
L’artiste argentin rappelle combien l’équilibre de l’écosystème terrestre est fragilisé par l’activité humaine.
Immatérielle, la trajectoire de l’Aerocene crée un dessin invisible à l'œil nu. Grâce aux capteurs numériques embarqués et à la technologie de réalité augmentée, les traces deviennent une création visible via l’application mobile Aerocene.
* Mouvement
L’observation attentive de la nature est au coeur de la démarche artistique de Tomás Saraceno. Cette parfaite connaissance du climat va de pair avec le constat de son dérèglement.
Aerocene est accessible à la Maison Ruinart où l’expérience est disponible grâce à une application en réalité augmentée permettant de visualiser la trace laissée par l’Aerocene dans le ciel de Reims.
Cette sculpture aérienne, appelée Aéroglyphe constituera la signature d’un manifeste pédagogique en faveur d’une meilleure cohabitation entre les espèces et avec la nature.
L'ARTISTE
Né en Argentine en 1973, Tomás Saraceno, dont le studio est basé à Berlin, s’est fait connaître à l’international par son approche environnementale et engagée de l’art. Sa pratique collaborative, résolument tournée vers l’observation de la nature, se nourrit d’une curiosité pour des champs qui lui sont extérieurs, tels que la science et la philosophie.
En 2015, cet architecte de formation a réalisé le tout premier vol humain en montgolfière aérosolaire dans le désert du Nouveau Mexique, performance présentée à Paris lors de la COP 21. L’année suivante, il a pris part au Miracle Marathon de la Serpentine Gallery, un festival convoquant divers domaines tels que l’art, l’activisme, l’anthropologie, l’architecture, la théologie et la science… En 2018 Tomás Saraceno a fait l’objet d’une exposition monographique au Palais de Tokyo.