LIU BOLIN

LIU BOLIN


ARTISTE DE L'ANNÉE 2018

Liu Bolin pose son regard sur la Maison en pratiquant l’art du camouflage.

Pour la Maison Ruinart, Liu Bolin a passé plus de 10 jours en résidence à Reims afin de réaliser des œuvres qui révèlent le travail invisible de l’homme dans l’élaboration des cuvées Ruinart.


L’artiste chinois a su révéler les gestes et le savoir-faire à l’œuvre dans le processus de création du champagne. Par son invisibilité, il amplifie l’expertise des personnes qui travaillent dans l’ombre. 


L’artiste contemporain a réussi à mettre en lumière l’harmonie de Ruinart avec la nature, l’extraordinaire savoir-faire et l’implication des collaborateurs.

LIU BOLIN

LE PORTRAIT DE L'ARTISTE


Difficile de définir un artiste comme Liu Bolin, vu son parcours et la plasticité de son œuvre. Artiste chinois de premier plan, il se veut autant sculpteur, peintre que photographe.


Liu Bolin a réussi à se construire une réputation mondiale grâce à sa capacité à se camoufler dans les scènes qu’il souhaite mettre en lumière. Un art du camouflage particulièrement subtil, qui laisse toujours deviner sa présence.


Au travers de ses œuvres, l’artiste transmet des messages critiques sur les sujets politiques et sociaux, mais aussi à l’égard de la société de consommation, ou encore sur l’écologie.

LIU BOLIN
Jeroboam LIU BOLIN

JÉROBOAM EN ÉDITION LIMITÉE


Pour Ruinart, Liu Bolin a habillé des coffrets en bois abritant un jéroboam de Blanc de Blancs.


L’artiste chinois a ainsi utilisé les vestes qu’il revêt avant de les peindre lors de ses performances pour créer l’habillage des coffrets, limités à 10 exemplaires numérotés.

LE PROGRAMME CARTE BLANCHE


Persuadée que l’art a le pouvoir de transformer, de connecter et d’éclairer, Ruinart confie, chaque année depuis 2008, une Carte Blanche à des artistes contemporains de renom pour rendre hommage à son patrimoine. 


Choisis pour leurs engagements, ces artistes sont invités en résidence à Reims pour y découvrir la Maison, ses vignobles et ses Crayères. Chacun à leur tour, ils livrent leur vision du travail de la vigne et de l’élaboration des vins. Leurs propositions artistiques font échos aux valeurs de la Maison et interpellent la société sur le changement climatique. 


Cette relation unique entre Ruinart et l’art remonte à 1896, lorsqu’André Ruinart commanda à l’artiste tchèque Alphonse Mucha sa toute première réclame. 

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